Adorjan, Basile, Brauers, Duqué, eSBee, Gabriels, Glineur, Horemans, Tremerie, Van de Kerckhove, Van Laere, Verheyden, Verhoeven, Wilden. Adorjan (Bruxelles).
Les
queues brevetées "La Royale", avec régulateur
de poids (voir Section A), ont été fabriquées par
le Hongrois
Le modèle suivant est différent. Son fût, en ébène sculptée,
est plus long (72 cm) et sa flèche (en érable) est plus courte (67 cm). Ce modèle est le même que celui figurant, avec le jeu de boulons permettant de modifier le poids du talon et de la flèche, dans un catalogue des Billards Toulet du début des années 1900. Les
joints des 4 'La Royale' ci-dessus sont en métal. Basile
(Bruxelles). Des
flèches de ce bois sont parfois utilisées au billard artistique
ou au billard-golf. Brauers (Bruxelles). Les queues Brauers sont ornées d'incrustations typiques. Celles-ci sont rouges ou vertes. Les fûts 1 à 4 ci-dessous sont signés BRAUERS BREV. Les suivants sont probablement aussi de la même marque. Les joints des fûts 3 et 4 de forme 'bouteille' sont renforcés par un tuyau de laiton intérieur et une large bague. Le fût numéro 3 date d'avant 1940, le 4 est pourvu d'un manchon de liège incrusté, le 5 est en bois rares (ébène de Macassar et loupe d'érable) et le 6 est en deux parties. Tous les joints sont en bois. Le centre de gravité de la Brauers suivante peut être déplacé (voir Section L 2 b construction).
Brauers
a également conçu une queue élastique (voir Section
P. Spéciales. 3). Duqué. eSBee (Stany Buyle).
Queues professionnelles des années 1980. Gabriels. Fût (d'avant 1940).
Queue en trois parties des années '60 avec une décalcomanie belge de Glineur. Celle-ci possède certaines caractéristiques des Paradise (Etats-Unis), c.-à-d. une vis en laiton située dans le fût, des anneaux décoratifs de métal (maillechort?) et de plastique, une imitation de nacre en plastique et un 'grip' en fil Nylon noir. Horemans
(Bruxelles).
Le
fût 2 est probablement un Hiolle, tout comme celui à quatre
pointes montré ci-dessous datant des années 1950. Le suivant est en trois parties et très lourd (600 g., pour le billard-golf en 1970-80).
Il pourrait avoir été construit ainsi que le fût 3 par la firme allemande Boetzel. Pour terminer: a) une queue ancienne, à quatre pointes et longue vis en bois,
portant la signature manuscrite rare de Ed. Horemans figurant également dans la préface de son livre Le Billard publié en 1965. b) une queue semblable, sans enture, avec une décalcomanie Hiolle et sur la face opposée un poinçon Horemans . Note:
Tremerie
(Gand). et les autres avec joint inverse (voir Section L 1 b Vis). La décalcomanie du dernier est plus simple que celle des précédents . Van de Kerckhove (Bruxelles).
Ci-dessous deux queues à 4 pointes d'avant 1940. L'une a une décalcomanie et une longue vis en bois
et l'autre, estampée Van de Kerckhove mais probablement construite par Brunswick, a une flèche à 4 pointes avec vis en aluminium se fixant directement dans le bois du fût. Notons que Van de Kerckhove et Horemans ont été associés (voir ci-dessous).
Van Laere (Bruxelles). La plus importante des firmes belges. Voir Section F. Verheyden (Rumst).
L'une des rares queues construites par Alphonse Verheyden, artisan et réparateur renommé. Verhoeven
(Malle). Une 'Mélis' avec bagues en métal aux extrémités du fût et une vis noire en bois, connue depuis longtemps en Belgique et encore construite actuellement sous le nom de Paramount. Voir aussi la queue 5 du groupe montré chez Horemans. Wilden (Bruxelles) Ci-dessous le Professeur Henry Wilden et sa Maison de Billard située 14, rue du Cirque (voir le journal belge 'Le billard' n°1 de 1902).
Voici une queue avec une incrustation carrée en ivoire, fabriquée par cette firme. Elle a été identifiée par le joueur de billard belge bien connu Léo Corin et m'a été offerte par mon ami Claude Mahaux. b.
Françaises.
Les photos suivantes regroupent les queues d'une même marque. Certains modèles ont déjà été présentés séparément. Pour plus de détails, voir Section L. Brunswick (Paris). Voir Section E. Caro
(Paris),
l'une des firmes qui prirent la relève de celle de Chéreau
fondée à Paris en 1816. La première est en palissandre et érable, incrustée de nacre
et sculptée de motifs Art Déco des années 30
Elle est signée CARO sur une incrustation du talon et G. CARO Fabricant - PARIS entre deux pointes. Sa bague est en ivoire à contre-fil. ........... .........
Les autres queues,
Notons qu'il existe aussi une queue en quatre parties semblable à la n° 48 de cette section. Carrier et Laumé (Paris).
Une queue ancienne signée, pourvue d'un manchon en caoutchouc encastré. Castor. Trois
queues en deux parties portant une décalcomanie "Castor"
( voir Section L 2 h) dont le fabriquant est probablement Brunswick
ou Proust (voir Section A.6): 2
3 fût
de forme "bouteille" en palissandre sculpté et incrusté
de nacre (flèche en frêne). Grivaud (Lyon). Une queue estampée "Grivaud International Lyon" (voir Section L 2 h) en deux parties, sculptée et incrustée.
Hénin Ainé (Paris). Voir Section E. Hiolle (Paris). La plus importante des firmes françaises (voir Section D). Laprévote (Paris). Cinq queues La Technique (voir Section A), fabriquées dans divers bois et incrustées de nacre,
dont les deux dernières (rares) sont sculptées. Seguin (Paris). Une queue de forme 'bouteille' pourvue d'un manchon en caoutchouc encastré, signée et datant d'avant 1940. Son talon se termine par un anneau rouge probablement en ambrolithe.
St. Martin-Palisson (Paris).
La
St. Martin brevetée et signée (pour plus de détails,
voir Section A). Boetzel, Bour, Dorfelder, Finck, Schröder & Kartzke, Wolsing. Boetzel (Berlin). Supposé être le constructeur de certaines queues (voir Horemans, Wolsing et Section I). Bour
(Cologne)........
Queues Hiolle vendues ou distribuées par Bour. Dorfelder
(Mayence)......... Deux 'L'Universelle' (voir Section A). Une 'Queue-masse' rare avec sept entures à quatre pointes consécutives (voir Section J).
Une 'Queue/Canne' rare (voir Section J). Finck.
devint
rapidement l'une des plus importantes du monde.
Les
n° 113 et 250 sont incrustés d'entrecroisements et de barres
longitudinales de couleur blanche caratéristiques de Finck et
leur joint contient un anneau en laiton. Les n° 113 et 89 sont signés
par leur propriétaire et le fût du n° 250 est en deux
parties.
(III) le n° 88, probablement encore plus âgé,
en 2 parties aux extrémités robustes jointes sans bague par une longue vis en bois.
IV) un modèle
à deux fourches avec quatre placages colorés, côte à côte et imbriquées. Cet assemblage très compliqué, présent dans un catalogue cité plus haut, et les barres longitudinales blanches suggèrent une fabrication Finck. Schröder & Kartzke (Dresde), l'une des plus importantes compagnies de son époque........ ...............................................................................................;En-tëte
de lettre écrite vers 1929. La très ancienne queue n° 267 'La Reform' (voir Section A). La queue sculptée à la main n° 281 de la fin 1800 ou du début 1900 avec deux médaillons en ivoire ciselés d'un monogramme,
Wolsing
(Kevelaer). Queue
en 4 parties de plus de 50 ans, probablement construite par Boetzel. Sampaio. Cette firme fut fondée en 1880 et était connue pour la qualité de ses queues et les beaux matériaux utilisés (bois de rose, nacre, ivoire...). Voici deux de ses modèles en deux parties: le 'Mark VII' (*), richement décoré de nacre ( les extrémités du fût ont été restaurées),
et le 'Premier', fortement sculpté et incrusté de nacre.
Ce dernier a plus de 50 ans. Il est signé 'Sampaio' et 'Made in Portugal'. Sa flèche, seulement signée 'Sampaio', a une vis en laiton étroite (6 mm de diamètre). Notons que son motif central
figure
également sur la queue Finck n° 134 des années 1880
(voir page 275 de 'The Billiard Encyclopedia' 1996) et des queues récentes
non signées. Sampaio commença à exporter vers les Etats-Unis dans les années 1960. Ci-dessous les modèles 'Lisbon'
et 'Kent'
de cette période, dont la vis du joint en laiton est fixée dans le fût (voir Section L, flèches). (*) Cette queue avec joint en bois était aussi vendue en France par Brunswick et Proust avant 1960. Olympia, Wilhelmina.
Olympia.
Celle portant une décalcomanie bleue incomplète a été construite par les frères Van den Broeck
dans les années 1950-1960. Les autres sont plus récentes. Wilhelmina.
Une queue datant d'environ 1930, pourvue d'un manchon de liège encastré,
et une queue 'Cees van Oosterhout' plus récente.
Longoni, Doublel. Longoni (maison réputée fondée en 1945). Ci-dessous: a) deux queues Longoni 'Professional', une en deux parties
et une en trois parties.
b) deux queues 'Zenith' (marque créée en 1976) en deux parties, l'une est signée Francis Connesson
et l'autre est pourvue d'un 'grip' de fil rouge.. Doublel
(Turin).
La
flèche est en fibre de carbone et le fût contient
un régulateur de poids et de centre de gravité.
Le poids peut varier entre 600 et 660 g. La longueur est de 140 cm.
La rallonge en aluminium mesure 10 cm et pèse 85 g. Le diamètre
du procédé multicouche en cuir est de 12,5 mm. Harald Fihl (constructeur renommé, voir page 109 du livre 'The Billiard Encyclopedia' écrit par Stein et Rubino en 1996).
Queue de plus de 25 ans pourvue de la décalcomanie du constructeur (voir Section L 2 h). Jens
Christian Petersen
contruisit quelque 5000 queues de première qualité entre
environ 1930 et 1969. La plupart d'entre elles étaient estampillées
près du joint de ses initiales JCP sur le talon et d'un
même nombre sur le talon et la flèche. . Volmer
Brønnum
travailla pour Jens Christian Petersen et lui succéda pendant
un certain temps. Son joint est renforcé par un tuyau de laiton intérieur. Remerciements
au collectionneur danois Jørgen Peder Jørgensen pour ses
informations concernant ces trois fabricants de queues qu'il a connus. Une masse ou crosse du début des années 1800 (voir Section Q).
Une queue ancienne magnifiquement décorée (voir Section M). Accueil | Sommaire | Histoire | Je recherche | Recherche dans ce site | Contactez-moi | Liens
|